Orbital Drop Storm Troopers
Origines
Les ODST sont les descendants des parachutistes des 20ème et 21ème siècles, qui sont souvent largués derrière les lignes ennemies pour capturer des bâtiments, des ponts et d’autres cibles militaires et industrielles, par anticipation sur les forces militaires classiques.
Entraînement
L’entrainement est extrêmement difficile et assez long. Il dure plusieurs mois dont trois semaines de pré-classes avec un dur entraînement physique mais aussi des simulations de combats individuels dans des terrains et des climats rudes ; neige, boue, feu de forêt.Il consiste à éliminer les candidats trop faibles et préparer les autres à la suite de l’entraînement. Après ces trois semaines, commence les entraînements en équipe d’intervention, à trois, très difficiles qui ont pour objectif de renforcer la cohésion d’équipe et les compétences tactiques et mentales des éléments.Les instructeurs suivent de près les recrues et leur tirent parfois dans la jambe s’ils ne vont pas assez vite ou simplement pour augmenter la tension et la difficulté.Ensuite, de véritables entraînements en escouade ont lieu où un bon élément est placé comme chef d’escouade et doit mener son équipe à la réussite de son objectif avec l’aide d’une autre escouade.
Il est probable que les entraînements en insertion orbitale ne commencent qu’après cette période de formation initiale au sol.
Mentalité
Les ODST ne voient pas la mort comme un « si », mais comme un « quand ».
Le courage, l’honneur, la fierté d’appartenir à une unité spéciale sont quelques-unes des valeurs qui mènent les ODST aux combats, et également ce qui les éloigne des troupes régulières.Ils sont considérés comme des fous ou des inconscients (bien que cela puisse parfois être vrai)Ils cultivent également un culte de la force et de la supériorité qui les pousse à se montrer catégoriques en toutes choses et entraîne la nécessité de ne jamais s’excuser, même s’ils savent qu’ils sont en tort, pour démontrer leur assurance jusqu’au bout, ainsi que de ne jamais refuser une mission, aussi dangereuse soit-elle.Chaque ODST est capable d’afficher un visage neutre et de masquer ses émotions face à un supérieur ou un autre soldat. Enfin, peu de sanctions administratives sont susceptibles de faire plier un ODST.
Les ODST entretiennent également un esprit d’équipe, et peuvent développer des liens très forts entre membres d’une escouade. Un ODST n’hésitera pas à déclencher une bagarre s’il considère qu’un de ses frères d’arme a été insulté. Ils respectent néanmoins l’autorité de leurs supérieurs hiérarchiques.Enfin, les ODST considèrent leur combat comme leur seul optique de vie. Il est très difficile pour eux de quitter leur escouade pour retourner à la vie civile, ou même seulement revenir dans leur ancienne unité. Cela est considéré comme la pire chose pouvant leur arriver, avant même la mort.
Lorsqu’un ODST mortellement blessé au combat doit être abandonné sur le terrain, un aide-soignant peut lui administrer
« l’injection », une dose létale d’un puissant narcotique qui soulagera sa douleur et son anxiété dans ses derniers instants.
Opérations
Les ODST accomplissent des missions risquées de très haute importance, ce qui n’arrange pas leur réputation.Généralement envoyés derrière les lignes ennemies, en plein cœur d’une bataille, employés dans des missions d’élimination discrète ou encore pour des frappes éclair, leurs chances de survie sont souvent maigres, et il n’est pas rare que plusieurs membres d’une escouade meurent au cours d’une mission.Parmi les missions effectuées par les ODST, on retrouve la surveillance active au sol, l’action directe, la guerre non-conventionnelle, des opérations d’anti-terrorisme et d’anti-contrebande et des opérations spéciales de capture de personnel ou de matériel, la reconnaissance à long terme et surtout la création de zones d’atterrissage pour les troupes conventionnelles derrière les lignes ennemies.
Opérant souvent derrière les lignes ennemies et risquant d’être capturés, ils sont également entraînés à résister à la torture dans des conditions quasi-réelles, extrêmement douloureuses mais non-létales et sans séquelles, et sont formés aux opérations de police, incluant le maintien de l’ordre sans usage de la force bien que cet enseignement reste généralement théorique.
- GÉNÉRAL SVENSKOLL